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 "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi

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Alessandro M. Bottachi

Alessandro M. Bottachi

Capricorne

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MessageSujet: "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi EmptyLun 5 Aoû - 17:06


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Alessandro Marco Bottachi
NOMBottachi PRENOM(S)Alessandro Marco ÂGE34 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE14 janvier 1979 à Avola, en Sicile.  SIGNE ASTROCapricorne. MÉTIER/ÉTUDESProfesseur d'arts dramatiques - Comédien STATUT CIVILCélibataire. TRAITS DE CARACTÈRETêtu, déterminé, généreux, patient, passionné, aimant, italien, modeste, honnête, franc, droit, intransigeant, drôle, mélancolique et nostalgique. GROUPEEarth. AVATARIan Somerhalder.

∼ Now I am here.

Il est amoureux, et attendra cette femme toute sa vie — Sa famille est son trésor le plus précieux — Il a deux sœurs et est le dernier né de la famille — Il ne donne pas sa confiance facilement, mais quand il le fait c'est pour de bon — Sa passion pour le théâtre est sans limite — Il donnerait sa vie pour ses neveux — Son accent italien ne le rend que plus sexy encore — Il n'a peur de pas grand chose, à par peut-être de lui-même — Il aime la vitesse et l'adrénaline qu'elle lui fait ressentir — Il n'ose plus toucher aux femmes depuis elle.

∼ Under Pressure
QUE PENSEZ VOUS DE L'ASTROLOGIE ? Certaines choses sont parfois tellement en concordance avec la réalité que c'est troublant. Cependant, comme Saint Thomas, je ne crois que ce que je vois. Du moins, c'est que je crois... Toujours est-il que, comme pour tout, je préfère parler en connaissance de cause, et il est vrai que les spécialistes de l'astrologie m'impressionnent assez.
OCCUPE T-ELLE UNE PLACE DANS VOTRE VIE ? Pas réellement, mais il est vrai que, sans m'en rendre compte, je tend l'oreille lorsque il est diffusé à la télévision, ou je m'arrête dessus dans le journal. Comme tout le monde, non?
LISEZ VOUS DES HOROSCOPES ?Je n'achète pas de livres consacrés à l'astrologie ou les magazines "spécial astro" qu'on peut voir en kiosques. Mais il n'est pas rare du tout que je le lise dans mon journal le matin, ou dans un magazine qui traîne. On ne sait jamais...
VOTRE CARACTÈRE EST-IL EN ACCORD AVEC VOTRE SIGNE ? Je dois dire que... Oui, plutôt. Le Capricorne est patient, persévérant, laborieux et responsable. Il ne croit aussi qu'en les choses concrètes, ce qui est bien moi! Il est aussi peu démonstratif et réservé en amour, malgré que les sentiments soient présents, forts et sincères. En plus de me correspondre, ces traits de caractères m'ont porté préjudice...


Spoiler:


Dernière édition par Alessandro M. Bottachi le Lun 5 Aoû - 20:04, édité 6 fois
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Alessandro M. Bottachi

Alessandro M. Bottachi

Capricorne

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MessageSujet: Re: "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi EmptyLun 5 Aoû - 17:06


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I'm going slightly mad


« - Non. »
S’il y avait une chose qui insupportait au plus haut point Alessandro, c’était qu’on lui impose quoi faire de sa vie. Il n’était pas arrogant, respectait ses parents plus que quiconque, mais il refusait pour autant de leur laisser les pleins pouvoirs sur son futur. Le brun, bras croisés, fixait sa famille. Ils étaient tous assis dans le grand salon de la villa familiale, perdue sur les bords de mer Siciliens. Alessandro les lorgnait, un par un, sourcils froncés. Son visage était dur, beau, dessiné à la perfection, et ses yeux bleus étaient si profonds que n’importe qui aurait pu défaillir en un seul regard. Il avait terminé son cursus dans les arts dramatiques, il était maintenant apte à être professeur. A prendre la suite de sa grand-mère. Mais lui, encore jeune et fougueux, voulait d’abord monter sur les planches de tout le pays, voire de l’Europe. Il voulait jouer tout ce qui était jouable, chaque personnage, chaque émotion, chaque pièce. Il voulait tout voir et tout faire, et ensuite peut-être, devenir le plus grand professeur de théâtre que le monde n’ait jamais connu. Ce genre de pensées le faisait sourire en coin. Il n’était pas prétentieux, juste réaliste. On ne sort pas du conservatoire en étant le meilleur de sa promotion, adulé par les professeurs, sans être destiné à un avenir brillant. Cependant, les siens avaient l’air d’en avoir décidé autrement. Sa grand-mère, fatiguée par l’âge et le caractère de son petit-fils, grogna presque imperceptiblement. Foutu italien. Il était le seul garçon, le dernier, le plus beau, et il était Sicilien. De quoi créer à la fois l’admiration et l’énervement. La vieille dame fixa le brun, si intensément qu’il dû, par respect, baisser la tête.

« - Alessandro Marco Bottachi, je te le demande une dernière fois… Veux-tu accepter cette opportunité unique de prendre ma suite dans la plus grande école de Rome ? »

Alessandro soupira. Son père se leva.

« - Ca va, ça va ! Je vais le faire… »

Il n’avait pas particulièrement peur de son père, mais il était le patriarche. Le chef de famille, celui que l’on respecte, qui obtient ce qu’il veut de qui il veut. On était chez lui, et Alessandro se devait de lui obéir. Malgré tout, ce père l’aimait. Enormément. Et il avait confiance en son fils plus qu’en n’importe qui. Sa mère et ses sœurs lâchèrent quelques soupirs de soulagement qui le firent lever les yeux au ciel, puis sourire en coin. La famille Bottachi était certainement la plus unie de toutes. Et Alessandro ne savait pas encore à quel point cette union lui sauverait un jour la vie.

[…]
Le dernier carton déballé, Alessandro sortit sur la terrasse de son grand appartement et s’étira. La famille Bottachi était riche. Ils le devaient certes à la sueur de leur front, mais ils étaient loin de manquer de quoi que ce soit. Et l’appartement du jeune italien de 27 ans le reflétait plutôt bien. Alessandro avait des goûts classiques, plutôt luxueux. Marbre blanc, argenterie, grands tableaux, musique classique italienne. C’était à la fois surprenant et enivrant, les jeunes femmes ne l’en trouvait que plus mystérieux et attirant. Il sourit en coin en regardant la ville en bas, le coucher de soleil lui donnant une apparence différente, une teinte plus familiale et confortable. Ce sourire ne le quittait quasiment jamais. Associé à la profondeur de son regard, il était un véritable piège à cœurs. Il bousculait les sentiments de chaque personne à qui il parlait, qu’il rencontrait. Pour autant, son visage aux traits déjà bien marqués n’avait pas encore la maturité que les beaux hommes ont. Ceux qu’on trouve toujours magnifique, peu importe leur âge. Mais ça viendrait, forcément. Plus vite qu’il ne le pensait sans doute…
Bien qu’il le ne dirait et ne le montrerait jamais, Alessandro était présentement anxieux. Sa grand-mère était adorée, adulée, elle avait énormément de talent et savait transmettre mieux que quiconque son savoir et sa passion. Comment être à la hauteur de cela ? Il savait qu’il le pourrait, qu’il le devait, mais c’était un défi important pour son premier poste. En plus de l’enjeu, il s’agissait de ne pas décevoir sa grand-mère, de faire la fierté du clan Bottachi, et surtout d’être un nouveau professeur que les élèves apprécieraient. Sourcils froncés, tendu, il réajusta pour la énième fois sa chemise en sortant de sa voiture. Le théâtre était là, juste ici. Et il était largement en avance. Ses élèves n’arriveraient que dans deux heures. Mais Alessandro voulait prendre son temps, s’imprégner du lieu qui maintenant était à lui, préparer son cours, faire les choses comme il fallait. Que tout soit carré, et que rien de dépasse. Foutu italien… Sa grand-mère lui avait donné les dossiers des élèves, elle y avait laissé quelques notes. Ce serait une aide précieuse, un gain de temps pour lui. Ils ne les connaissaient pas comme elle les connaissait, mais il saurait son avis sur eux. Et c’était ce qui comptait le plus. Il s’avança vers la salle en ôtant ses lunettes de soleil, se retenant de sourire un peu trop en entendant quelques gloussements et commentaires subjugués sur son passage. Il le savait. Alessandro savait l’effet qu’il provoquait, chez les femmes comme chez les hommes. Mais la vérité était qu’il n’en avait pas grand-chose à faire. Ça lui était certes utile pour arriver à ses fins quand il avait envie de sexe, de flirts, voire d’un peu plus, mais c’était tout. Il trouverait la perle rare en une personne qui ne se laisserait pas hypnotiser par son physique.
En entrant dans la salle, Alessandro ferma les yeux en inspirant longuement, souriant. Ca sentait son odeur, celle qui lui rappelait les câlins auxquels il avait droit dans son enfance, les gâteaux préparés avec amour, les chansons soufflées au creux de l’oreille pour s’endormir, une douce prière chuchotée pour éloigner toutes les mauvaises choses. Il se mordit la lèvre. Il voulait la rendre fier. Il s’avança d’un pas assuré jusqu’à la scène. Il laissa ses doigts glisser sur le bois usé et sombre, un sentiment de bien-être l’envahissant. Il était juste là où il devait être, il le sentait. Soupirant d’aise, il posa ses affaires et s’appuyant contre son bureau, l’air concentré. Sorti les dossiers des élèves pour les lire, avec attention, un par un, riant parfois aux commentaires de sa grand-mère.

« - Cosma Orchidea Casadei… »

Alessandro haussa un sourcil. Seuls quelques mots étaient annotés, sous la photo de la jeune femme brune à qui appartenait le dossier. « Le plus précieux des trésors ». Le brun cligna plusieurs fois des yeux et relu, encore et encore, les mots laissés par son aînée. Il détailla la jeune femme brune sur la photo. Elle était magnifique. Il ne s’attarda pas trop sur ses traits, un léger frisson parcourant sa colonne vertébrale, et lu rapidement les lignes écrites, impressionné par son niveau. Il déposa le dossier avec les autres. Beaucoup plus délicatement. Mais il ne s’en rendit pas compte.
Les premiers boutons de sa chemise ouverts, ses manches remontées, il fit signe aux premiers élèves arrivés d’entrer. Il leur sourit chaleureusement et, sans le vouloir, de façon charmeuse. Il faisait abstraction des regards étonnés, suspicieux, intimidés, admiratifs, carnassiers parfois. Il leur demandait simplement d’entrer et s’asseoir où ils le voulaient. Il scrutait la porte, essayant de se rappeler du nom de chacun. Et elle entra. Il sourit en coin. Son ventre se tordit légèrement, elle était encore plus belle en vrai. Il lui sourit, comme aux autres, et ne s’attarda pas. Il tapa dans ses mains pour faire cesser les bavardages et croisa les bras.

« - Bien… Je sais que c’est une surprise pour vous, mais comme vous pouvez le constater, vous n’aurez pas le même professeur cette année. Je m’appelle Alessandro Bottachi, et j’assurerais le remplacement de madame Bottachi qui a pris sa retraite. »

Il les laissa chuchoter un court instant, laissant la surprise passer, et se racla la gorge.

« - J’ai lu vos dossiers, je sais donc plus ou moins qui vous êtes, mais vous vous doutez bien que ça n’est pas suffisant… Il sourit en coin, attirant inévitablement quelques gloussements. Vous allez passer les uns après les autres sur scène pour vous présenter à nouveau, comme vous le souhaitez, et vous me jouerez un court passage de votre pièce favorite. On va entrer dans le vif du sujet dès maintenant… »

Les élèves étaient dociles, sa grand-mère avait su leur faire comprendre les valeurs du théâtre. Alessandro considérait l’apprentissage comme un cadeau, un don auquel tout le monde n’a pas le droit, un enrichissement constant dont on devait faire bon usage. Et il était satisfait de voir qu’il n’aurait pas trop de mal à le faire comprendre aux jeunes gens en face de lui. Ils passèrent, les uns après les autres, et Alessandro les observait de son regard fort, profond, subjuguant. Il les aidait parfois, notait quelques petites choses.

« - Merci Michele… Hm… Il regarda la liste. Orchidea ? »

Ses yeux bleus parcoururent les visages jusqu’à tomber sur celui de la brune. Il sourit.


SIX MONTHS LATER



Cette journée aurait dû se passer comme toutes les autres. Il aurait dû se réveiller tranquillement, chercher par réflexe la brune à ses côtés, se lever, et aller se préparer pour donner ses cours. Mais rien ne s’est passé comme prévu, et sa vie a totalement basculée. Alessandro n’était ni méchant, ni malhonnête. Il n’aurait trahi aucune personne en ce bas monde, et surtout pas elle. Surtout pas. Quand il se réveilla, il dû poser ses mains sur ses tempes et serrer fort tellement son crâne le faisait souffrir. Il regarda près de lui. Non, elle n’avait pas passé la nuit là. Il se leva comme il put, grognant doucement. Mais pourquoi se sentait-il si mal ? Il essaya de se rappeler ce qu’il avait fait, qu’est-ce qu’il avait bien pu boire pour se mettre dans un état pareil. Mais rien. Pas d’image, de son ou d’odeur. C’est le grand vide, un écran noir qui brouillait son esprit. Il soupira, essayant vainement de chasser cette sensation désagréable, et se prépara. Comme d’habitude. Et il mourrait d’envie de la voir. Et qu’elle passe la nuit ici, peu importait son mal de crâne.

Jour 1. Il était entré dans le grand théâtre sans même enlever ses lunettes de soleil. Il grommela pour saluer les élèves, sa tête le lançant affreusement, et la chercha automatiquement du regard. Il fronça les sourcils. Il posa ses affaires et dû malgré tout commencer son cours. Il fixait constamment sa place vide, il sursautait presque à chaque bruit dans le couloir. Mais rien, elle ne vint pas. En sortant, inquiet, il composa son numéro. Evidemment qu’il s’inquiétait pour elle, évidemment qu’il voulait la protégeait et que déjà les pires des scénarios s’échafaudaient dans sa tête. Il était amoureux d’elle. Pas un peu, pas de légers sentiments, non. L’amour, le vrai, qui tordait son ventre si fort quand elle était là qu’il était sûr d’être en train de mourir à chaque fois. Alors il colla son portable à son oreille, les sourcils froncés d’inquiétude, et attendit. Attendit encore. Le répondeur se mit en route et il retint un soupir. « Mademoiselle Casadei, puis-je savoir ce qui justifie votre absence à mon cours ? Rappelle-moi, j’ai envie de te voir. »


Jour 2. Alessandro se réveilla énervé. Il avait très mal dormi. Elle ne l’avait pas rappelé, son mal de tête avait mis des heures à passer, et il avait tourné en rond tout le reste de la journée. Il tournait et retournait tout dans sa tête, inlassablement. Ca n’était qu’un jour, elle était libre, ils n’étaient pas ensemble après tout. Elle ne l’aimait pas, elle le lui avait dit. Sa mâchoire se serra. Mais jamais, jamais elle ne l’avait laissé sans nouvelles. A moins que… Il jeta sa chemise qu’il n’arrivait pas à boutonner dans un coin et soupira. A moins qu’elle soit trop occupée, bien occupée, pour ne pas pouvoir répondre. Il décida d’arrêter de réfléchir en allant au théâtre. Même schéma, mêmes traits tendus. Elle n’était pas là.


Jour 3. « Toi ! Attend. Où est Cos… Orchidea ? ». La jeune fille en face de lui semblait être en train de se liquéfier et il fronça plus durement les sourcils. Il se retint de la secouer en exigeant une réponse. « Elle est partie ». Son cœur manqua littéralement un battement. Il dû poser une main sur sa poitrine tellement ça lui fit mal. Là, juste là, il eut l’impression de mourir de l’intérieur. Il se recula lentement et tourna les talons, les traits plus durs que jamais, pour foncer à l’administration. « J’ai besoin du dossier d’Orchidea Casadei ». La secrétaire lui fit signe de patienter et tapota à son ordinateur. Il abattit violemment son point sur le comptoir. « J’en ai besoin maintenant !! ».


Premier mois. Comme tous les jours en revenant chez lui, il regardait chaque recoin de l’appartement, sans vraiment s’en rendre compte. Il fonçait sur le répondeur, allait fouiller ses placards, regardait même dans les tiroirs de son bureau pour voir s’il n’y avait pas un mot. Puis il glissait ses doigts sur le dossier ouvert depuis des jours. Elle était partie, elle avait quitté l’école, elle avait… Disparu. Envolée, elle avait pris avec elle son cœur. Le manque était si gros, si imposant dans son ventre, qu’il se forçait à passer le plus de temps possible en dehors de chez lui pour ne pas pouvoir s’entendre penser. Pourquoi ? Où ? Comment ? Avec qui ? Ca cognait dans sa tête, dans son cœur, dans le fond de ses entrailles. On ne se rend compte de la valeur des choses qu’une fois qu’on les a perdues. Il ne l’aimait pas. Il mourrait d’amour pour elle.


Sixième mois. Il pensait vraiment devenir fou. Complètement fou. Il passait son temps dehors, il avait chaque rue de Rome. Il voyait son visage dans chaque reflet de vitrine, il pensait que chaque chevelure brune était la sienne. Les cours passaient après, il n’était plus motivé, plus concerné. Il hurlait sur tout le monde, ne transmettait plus rien. En passant pour la énième fois dans la rue la plus passante, son cœur failli lâcher. Ce corps, ces cheveux, cette façon de bouger… Il se mit à courir, se précipita vers la jeune fille. « Cosma ! ». Elle se retourna. Il failli se mettre à hurler, engueuler cette pauvre fille qui n’avait rien demandé et qui était tout sauf la brune. Son regard était apeuré et il eut un moment de recul. En rentrant chez lui il sortit son téléphone et composa le numéro de sa mère. « C’est moi… Prépare ma chambre, je rentre ».


Première année. Sa mère avait pris 10 ans en pleine tête en voyant son grand garçon revenir en larmes dans la villa familiale. Son père était sorti pour ne pas montrer sa faiblesse devant la douleur de son fils. Ses sœurs étaient revenues, sans rien demander, avec maris et enfants. Ses neveux devenaient toute sa vie et il leur consacrait le plus clair de son temps. A ça, et à lire. Travailler, encore, sans relâche. Parce que comme ça il ne pensait à rien d’autre. Et il ne le savait pas, mais c’est à ce moment-là qu’il devint meilleur que jamais, meilleur professeur, meilleur acteur. Il devint aussi une meilleure personne. Il était faible devant sa famille, il pleurait souvent. Mais il ne répondait pas encore aux questions, il ne pouvait pas. Jusqu’à ce jour. Sa mère n’en pouvait plus de voir son fils habituellement si fort être si faible. Alors elle entra dans son bureau sans frapper, ignora ses sourcils froncés. « Comment s’appelle-t-elle ? ». Le silence parut sembler être une éternité. « Elle s’appelle Cosma ». Il lâcha les armes, une toute dernière fois. « Elle s’appelle Cosma, et c’est l’amour de ma vie maman ». Elle lâcha une larme. « Qu’est-ce que tu fais encore là, espèce d’idiot ? ». Il pleura avec elle. « Je l’ai cherché. Je la cherche encore. Elle n’était même pas majeure, maman… Elle n’a pas besoin de moi ».

Deuxième année. On lui avait confié des cours dans la région de ses parents. Et il jouait, beaucoup, dans tout ce qu’on lui proposait, dans tout ce qui était possible. Il était au théâtre ce soir-là. Il ne dormait pas beaucoup, il travaillait trop, son visage était fatigué et ses traits étaient devenus plus durs. Et son père entra dans sa loge. Alessandro haussa un sourcil surpris et se recroquevilla presque en voyant le regard de son père. Le regard de Monsieur Bottachi, de celui qu’on respecte, qu’on regarde en restant à sa place, qu’on écoute sans répondre. « Alessandro Marco Bottachi lève-toi ». Il s’exécuta sans même oser penser à protester. Son père s’approcha. Lentement. Et il prit dans ses bras. Et il le sera fort, si fort. « Allez mon grand, allez. S’il te plait, relève-toi ».

Troisième année. Elle était constamment dans ses pensées. Il connaissait par cœur les photos d’elle. Mais il faisait bonne figure devant les autres, devant ses parents. Il devenait le vrai Alessandro, l’homme. Avec elle dans son cœur et dans son ventre, elle partout qui sans le savoir guidait chacun de ses pas, à qui il pensait constamment. Il aurait vendu tout ce qu’il avait, il aurait donné sa vie pour savoir que la sienne était sauve et heureuse. Mais il avançait. Parce qu’il ne voulait pas que ses parents s’écroulent pour lui. Il était en répétition ce soir-là. Et leur metteur en scène leur fit faire de l’improvisation. « Une scène de rupture, faites ce que vous voulez ». Les souvenirs revinrent en lui si fort qu’il eut un goût de bile dans le fond de la gorge et sa tête lui tourna violemment. Et ses neurones rompirent leur communication. C’était comme si c’était elle, devant lui, comme si elle était là et qu’il pouvait lui parler, la toucher. Il hurla, supplia, demanda, s’énerva, secoua. « Je t’aurais épousé, je t’aurais offert tout ce dont tu pouvais rêver, je t’aurais aimé si fort que jamais, jamais tu n’aurais plus eu à te préoccuper du bien-être de ton cœur ! ». Son professeur hurla. Et il revint à la réalité. La fille entre ses mains pleurait d’angoisse. « S’il te plait… Laisse-moi partir… ».


Quatrième année. Il avait réfléchi longtemps. Sa mère avait catégoriquement refusé. Mais il voulait, il se sentait près. Rome lui manquait, il en avait besoin. Il plia bagage lentement, progressivement, habituant doucement ses sœurs à arrêter de s’occuper de lui comme l’un de ses neveux. Et il repartit. Chez lui. Dans cet appartement qu’il n’avait pas vendu. Il entra dans son cocon, et son odeur lui serra si fort la gorge, si fort… Il y avait encore de elle partout, dans chaque coin, chaque angle, il la revoyait bouger au milieu de ses meubles. Il la voyait nue. Il la voyait entre ses draps, et il dormi pendant des jours en pressant le coussin sur lequel elle se reposer contre son visage. Et lorsqu’il se réveilla, il se dit qu’il devait effacer les traces. Effacer les odeurs, les souvenirs, les gémissements qui faisaient écho partout. Une fille. Deux filles. Dix filles. Cinquante. Cent. Toutes les mêmes, toutes brunes, toutes jeunes, toutes trop minces et pas assez belles. Cent-cinquante et une. Il baissa le regard, détailla sa bouche sur son membre. « Va-t’en ». Il n’en retoucha plus jamais une seule.


Cinquième année. Il était redevenu le professeur d’avant. Il savait cacher, il savait faire bonne figure, faire face. Il évitait soigneusement de se retrouver à l’arrière de la scène de cette salle, de cette école, qui avait bien voulu le réembaucher. Il était devenu un grand, adulé, reconnu. Un grand professeur qui poussait ses élèves si haut qu’ils s’en sortaient tous plus que bien. Alors un jour, il reçut un mail qui le fit tiquer. Lunettes sur le nez, il relu et relu encore. Un poste dans une des écoles les plus prestigieuses du monde. Londres. Il faudrait quitter l’Italie, sa famille, les dernières bribes d’elle. Il mit un an à se décider.


Sixième année. Il était fier de cette affiche entre ses mains. Sourire en coin, il avait enfin pu monter cette pièce qu’il voulait temps. Il souffla longuement. Elle résonnait toujours dans son âme, dans son cœur, dans son ventre. Mais il avançait, il le devait, et il s’en sortait bien. 5. Il entra dans le couloir qui menait à la Maison des Etudiants. 4. Il se fraya un chemin dans la salle toujours bondée et salua vaguement les élèves. 3. Il punaisa son affiche et se recula, un sourire satisfait aux lèvres. 2. Il fit un pas pour se servir à boire. 1. « Bonjour… ». Boum.



Dernière édition par Alessandro M. Bottachi le Lun 5 Aoû - 17:38, édité 3 fois
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Bienvenue sur le forum "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi 3151826697 "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi 353564801 
Comme je l'ai dis à ta coéquipière, je suis vraiment heureuse que vous ayez choisis DSMN comme maison :D
Bonne chance pour ta fiche et n'hésites pas si tu as une question "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi 1759606600 
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Niouuuuh merci *.* On est heureuses d'être là! :D

P.S. : Ton avatar... TUE TOUT x.x
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James Kingston

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C'est bien de voir Ian sans Nina et avec son vrai âge Smile 
Ta bannière est superbe en plus !

Et si tu te connecte 18 jours sur 7, tu vas sûrement devenir mon membre préféré "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi 3499243874 
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B. Julianna Fitzsimmons

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James : Merciiiii Smile Oui je préfère vraiment Ian comme ça! Et puis... Je serais membre préféré (a)


Julianna : Merci beaucoup Smile
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B. Cassidy Hudson

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Haha j'aime beaucoup dans les traits de caractère : "Italien"
c'est vrai que ça en dit beaucoup :D

En tout cas bienvenue et bonne chance pour ta fiche "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi 2912292839 
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Alessandro M. Bottachi

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MessageSujet: Re: "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi EmptyLun 5 Aoû - 17:39

Oui je trouve que ça parle bien :p
Merciii Smile
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Poppy Evans

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MessageSujet: Re: "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi EmptyLun 5 Aoû - 17:49

Bienvenue parmi nous, courage pour ta fiche ! I love you 

James Kingston a écrit:
Et si tu te connecte 18 jours sur 7, tu vas sûrement devenir mon membre préféré "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi 3499243874 

Hm, hm, vraiment ? "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi 3499243874
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MessageSujet: Re: "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi EmptyLun 5 Aoû - 17:51

Merciiii Smile

Bon bon, j'avoue, ce sera pas 18.. :/ Mais au moins 7, j'essaierais!
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Poppy Evans a écrit:


James Kingston a écrit:
Et si tu te connecte 18 jours sur 7, tu vas sûrement devenir mon membre préféré "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi 3499243874 

Hm, hm, vraiment ? "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi 3499243874

Je ne le pensais pas, c'est toi et personne d'autre "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi 1849363473 
Excusez moi madame "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi 4231967349 
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MessageSujet: Re: "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi EmptyLun 5 Aoû - 20:42

Héhé :p merciiii Smile
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MessageSujet: Re: "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi EmptyLun 5 Aoû - 20:44

Avant de valider entièrement, je me permets
James Kingston a écrit:

C'est bien de voir Ian sans Nina et avec son vrai âge Smile 
 
Je suis tout à fait d'accord "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi 3629943065 
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MessageSujet: Re: "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi "A l'orgueil de ce traître - De mes ressentiments je n'ai été maître" - Alessandro M. Bottachi Empty

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